Partage de lecture

Envie de partager ma lecture de livre du début d’année. Par Marianne

Faites votre glucose révolution, Jessie Inchauspé

Il y a des livres qui ont plus d’impacts sur ma vie que d’autres, celui dont je vais parler en fait partie !

A la base, sur conseil de ma grande sœur, j’ai écouté un podcast de la Matrescence qui faisait une interview de Jessie Inchaupsé, autrice de Faites votre glucose révolution. Elle est biochimiste, chercheuse en nutrition et spécialiste de la vulgarisation scientifique. J’ai été vraiment enthousiaste des conseils proposés dans cet entretien pour prendre soin de son corps et j’ai eu la bonne surprise de constater que son livre était disponible à la bibliothèque de Bulle. ☺ Du coup, je l’ai tout de suite réservé !

Ce que j’ai aimé en lisant ce livre, c’est que, comme dit précédemment, Jessie est spécialiste pour expliquer les mécanismes complexes du corps de façon simple ! Ainsi, j’ai pu comprendre facilement son contenu en le lisant, même après une grosse journée, ce qui est un paramètre non négligeable si comme moi, vous lisez en soirée ! ☺ De plus, il y a beaucoup de témoignages pour illustrer les effets possibles en suivant les conseils proposés ce qui les rend très concrets et d’autant plus attrayants.

Ce que je peux préciser aussi, mais vous vous en douter un peu quand même, c’est que l’alimentation est un sujet qui m’intéresse depuis longtemps. Le fait d’avoir eu 3 grossesses en est certainement pas étranger et cela m’a appris à changer certaines habitudes, du moins temporairement. Cuisiner des plats sains pour ma petite tribu est une de mes priorités ! Aussi, je n’ai pas peur de changer mes habitudes alimentaires quand il s’agit d’avoir un impact positif sur ma santé, celle de ma famille et aussi sur la santé de la planète soit dit en passant !

Le résumé de son livre commence ainsi :

« Agir sur notre courbe glycémique est le geste le plus efficace que nous puissions faire pour notre santé. Près de 90% de la population souffre d’un dérèglement du glucose et la plupart l’ignore. »

Comment savoir si je suis concernée par un dérèglement ?

Jessie propose une longue série de questions pour savoir si cela peut nous concerner. En voici quelques-unes :

  • Avez-vous du mal à rester plusieurs heures sans manger ?
  • Avez-vous des envies de sucre ?
  • Avez-vous des besoins de caféine pour tenir toute la journée ?
  • Avez-vous du mal à dormir ?
  • Essayez-vous en vain de perdre du poids ?
  • Vous sentez-vous agité ou énervé lorsque vous avez faim ?

Pour ma part, j’ai eu plusieurs réponses positives, d’où mon envie de continuer la lecture de ce livre. Et j’imagine que c’est le cas pour la plupart d’entre vous aussi. En tout cas, quand j’observe mes proches ou que je lis les études parlant d’augmentation des maladies inflammatoires (diabète, cancers, problèmes cardiaques ou augmentation des personnes (enfants y compris) souffrant de surpoids, je trouve que ce savoir devrait être largement plus diffusé ! D’ailleurs une des motivations de l’autrice est de diffuser ce savoir rapidement. Elle dit que lorsque les résultats d’une étude sorte, il peut y avoir plusieurs années jusqu’à ce que le grand public soit au courant de celle-ci.

Jessie précise aussi que tous les régimes extrêmes ne servent à rien. Elle en a elle-même fait l’expérience. Quel que soit notre régime, un bon indicateur est de constater qu’il nous aide à aller mieux !

Son livre est divisé en 3 parties

Qu’est-ce que le glucose ?

La définition du glucose dans le Larousse est la suivante : c’est ce que fabriquent les plantes lors de la photosynthèse en utilisant le gaz carbonique et l’eau avec l’énergie solaire. Le glucose est le carburant principal de nos cellules. Puisque nous n’arrivons pas à le fabriquer comme les plantes, nous l’ingérons sous la forme de féculents, fibres ou sucres. Le principal souci c’est que nous mangeons beaucoup plus de glucose que notre corps en a besoin. Pourtant à la base, la nature avait prévu que nous mangerions le glucose des plantes, dans lesquelles le glucose était toujours accompagnée par les fibres ce qui ralentissait l’absorption du glucose. Mais depuis plusieurs décennie, avec la nourriture industrielle, il y a moins de fibres et toujours plus de glucose. Donc notre organisme est la plupart du temps en surcharge de glucose.

Pourquoi les pics de glucose sont-ils mauvais pour nous ?

Ensuite elle explique ce que provoquent les pics de glucose dans notre corps de façon très imagée : du coup on comprend rapidement le souci. Il en résulte de nombreux problèmes de santé à court terme comme par exemple une sensation constant de faim, des fringales, de la fatigue chronique, un sommeil agité et à long terme comme par exemple le vieillissement et l’arthrite, risque de cancers, infertilité, rides, …

Comment lisser la courbe de notre glycémie ?

Finalement elle décrit 10 comportements à adopter pour lisser sa courbe de glucose. Elle propose de tester déjà un des 10 conseils. Celui qui nous parle le plus, ou celui qui semble le plus facile à mettre en place. Puis, en cas d’intérêts de tester les autres.
Franchement, individuellement, je les trouve tous très accessibles ! Il s’agit par exemple de simplement de changer l’ordre dans lequel nous mangeons les aliments sans changer le contenu de notre assiette. Ou de favoriser le sucré au moment du dessert au lieu d’en manger entre les repas. Ou encore d’ajouter systématiquement des crudités en entrée des repas.
Elle insiste aussi de faire attention pour les personnes qui prennent des médicaments ou de l’insuline et d’en avertir son médecin. Il est en effet possible qu’il faille assez rapidement changer les dosages de ces derniers.

Pour ma part j’ai rapidement testé les conseils proposés !

Le 1er a été de modifier mon déjeuner ! Et franchement si on m’avait dit il y a quelque mois que je mangerais un petit déjeuné salé, je ne suis pas sûre que je l’aurais cru… Aussi, car pour moi ça rimait avec bacon, œufs au plat et saucisse… Mais heureusement, ce n’est pas forcément ça !… C’est à priori quelque chose d’important de commencer la journée par du salé et ça va limiter les envies de sucré par la suite. Aussi, je réchauffe volontiers les « bons restes » de mon réfrigérateur ou alors, s’il n’y a plus rien, je fais rapidement et simplement un porridge salé avec des légumes fraichement râpés, un délice !

Une autre chose que j’ai facilement intégrée est de manger une salade avant mes repas de midi et du soir. La question de l’ordre des aliments est importante pour limiter les ravages du pic de glucose.

Et comme j’ai l’habitude de prendre un goûter en même temps que mes enfants, j’ai appliqué le conseil de boire un verre d’eau avec 1 CS de vinaigre dedans (franchement, malgré les apparences, c’est facile à boire). Ce qui me permet de me faire plaisir avec une collation sucrée.

Et pour les enfants …

Le gros défi est d’appliquer ces précieux conseils pour l’alimentation des enfants. Eh bien oui, car être convaincue que c’est important pour la santé et ne rien changer pour eux me semble absurde. Je trouve que ça fait partie de l’éducation que j’ai envie de leur transmettre. J’ai donc commencé par en parler avec eux et mon aînée de 6 ans a été assez réceptive.

Bien sûr, elles/il ne boivent pas de l’eau vinaigrée… Mais j’essaie d’éviter le sucré au déjeuner : je leur propose de garder leur envie de chocolat pour le dessert du dîner ou pour le goûter. Je les motive aussi à manger quelques crudités en entrée. Mon ainée a d’ailleurs pris un énorme plaisir à préparer sa propre sauce à salade l’autre jour. Et dernièrement pour rassurer mon mental qui est assez perfectionniste (il est aussi comme ça le vôtre ?) et qui est rarement satisfait, je me suis dit que mes enfants appliquent quotidiennement un des 10 conseils, celui de bouger après les repas !

Voili voilà, il n’a pas été facile d’écrire ce texte car le livre est très complet et le sujet est plutôt complexe à synthétiser. Donc excusez-moi, si j’ai fait des erreurs. Mon but principal est de vous encourager à prendre garde à comment vous alimentez votre corps. Prendre en main votre santé pour prévenir des maladies ! Bien sûr, il y a d’autres paramètres qui rentrent en compte, comme par exemple le stress bien présent dans notre société. Cependant, je me dis que ça peut être un petit encouragement de plus à mieux manger, à cultiver son jardin et à prendre du plaisir et du temps pour déguster de bons petits plats faits maison !

Liens

Si vous êtes intéressés par le sujet, vous trouverez ci-dessous les références du livre, du podcast dont j’ai parlé au début, et du compte Instagram. Et si l’alimentation vous intéresse, n’hésitez pas à participer au groupe Autonomie Alimentaire de Graines d’Avenir !

Livre : Faites votre glucose révolution, Jessie Inchauspé (disponible à la bibliothèque du musée de Bulle ☺)

Podcast : La Matrescence : 10 façons d’avoir un impact puissant sur son corps en lissant sa courbe de glucose – Jessie Inchaupsé

Instagram : il y a un groupe pour les plus connectés d’entre vous (je ne l’ai pas testé) : @GlucoseGoddess

En chair et en os : Groupe d’Autonomie Alimentaire de Graines d’Avenir

Participation consciente

Tribune libre sur le thème de la participation consciente

Comment fixer le prix d’un spectacle, d’une livre de pain, d’un weekend en nature ? Il y a le prix fixe, le prix progressif, le prix libre au chapeau, le prix à discuter, le prix Nobel – ah non pas pour cet article – et le prix conscient. Dans certains milieux, on voit fleurir ce genre d’indication, participation consciente : finalement, à quoi correspond-elle ? Est-elle bien comprise ? Bien expliquée ?

Essai de compréhension

Pour tenter de clarifier les choses, j’ai posé quelques questions à Antoine qui a bien voulu m’éclairer sur le sujet. Antoine a passé beaucoup de temps à se questionner sur la façon la plus juste de fixer le prix des pains qu’il façonne et vend, après avoir bien réfléchi aux valeurs qu’il porte et à toutes les étapes de son travail, de l’achat des farines aux emballages en passant par le mode de transport pour faire sa tournée, au temps de travail et au salaire dont il a besoin pour vivre selon son idéal.

Et ça, figurez-vous que ça ne se compte pas dans le prix d’un produit. Ca ferait exploser son prix à des kilomètres au dessus du prix psychologique. C’est celui qu’on a l’habitude de payer pour tel produit. Au final, le prix est généralement fixé sur la base du prix d’achat moyen des matières première. Il omet tout un tas de charges, y compris le salaire de l’artisan·e. Vous imaginez votre garagiste ne pas vous facturer les 140.- de tarif horaire pour le service de votre voiture ? C’est malheureusement le lot de nombre d’artisan·es et d’artistes.

Rien que de savoir ça, tout mon référentiel vole en éclats !

La participation Consciente selon l’Université du Nous (UdN)

La Participation consciente est le prix, le paiement des séminaires que propose l’UdN depuis 2011. Elle fait partie du modèle économique de l’UdN depuis sa création. Elle invite à revisiter notre rapport à l’argent, souvent dans le cadre de séminaires ou d’ateliers sur la question de la coopération et du faire ensemble.

La participation consciente a des règles précises données en amont aux participant·es :

  • C’est la somme donnée en conscience pour ce qui aura été vécu et pour soutenir financièrement l’organisation (développement, formation).
  • Elle fait l’objet d’un temps d’explication et de partage en début d’expérience.
  • Elle est obligatoire.
  • La remise se fait à la fin du séminaire de façon non-anonyme sans justification de la somme donnée.

Définition du terme « en conscience »

Pour choisir en (bonne ou mauvaise) conscience quel montant je verserai pour tel cours, spectacle ou produit, j’ai besoin d’en savoir plus. Tout comme une assemblée communale veut connaître les détails du budget avant de l’accepter, j’ai besoin de savoir :

  • quel montant a été engagé : quel est le prix des matières premières, des charges fixes et variables, du salaire espéré
  • combien d’heures de préparation ont été nécessaires pour se former, répéter ou développer et créer le produit proposé
  • quels sont les processus de création ou de fabrication et leurs implications
  • quel est le niveau de formation de la personne qui anime, se produit ou fabrique
  • dans quel cadre elle travaille et vit : activité principale ou accessoire, semaines travaillées par année, train de vie, etc

A toutes ces informations se mêleront MES valeurs, MES références salariales et financières, MES (mé)connaissances du mode de production ou de création, etc. Quelle prise de tête, pas vrai ?

Eduquer à la participation consciente

Expliquer tout ce concept et ces informations nécessite un grand travail d’éducation. Donc du temps et le temps c’est de l’argent, non ? pas pour notre artisan boulanger, dommage pour lui ce brave passionné. Vous l’imaginez, passer quinze minutes par client·e à expliquer comment les prix ont été fixés ? Quelles démarches ont été entreprises pour se fournir auprès de producteur·ices fribourgeoises ? Quel processus a mené de la farine à la belle miche de pain ? Comment les augmentations des charges tel le prix de l’électricité impactent les prix ? Comment fixer la masse de pain à produire pour dégager le salaire visé ? Mon pain aura bien le temps de sécher 6 fois sur le stand !

Bref, proposer une participation consciente est louable mais nécessite :

  • pour la personne qui propose cette rémunération : beaucoup de temps pour faire le budget « holistique » de son projet et d’énergie pour faire connaître et comprendre le concept encore méconnu, accepter ce qu’elle recevra et probablement de l’appréhension de savoir si elle recevra de quoi se verser un salaire ou seulement couvrir ses frais ;
  • pour la personne qui paye selon ce modèle conscient : du temps pour comprendre les détails, une réflexion personnelle sur mes référentielles et la fourchette d’un salaire acceptable et, dans mon cas, de la torture mentale et morale pour décider combien donner pour être juste.

Conclusion personnelle

Au final et avec ma compréhension actuelle, la participation consciente ne garantit pas une rémunération juste pour la personne qui propose un service ou un produit étant donné que le montant dépend de la personne qui paye ! Que la participation soit libre ou consciente, la différence est l’inconfort et le temps passé à réfléchir à ce que je laisserai dans le porte-monnaie de l’autre.

Je vous avoue que j’ai une préférence pour la participation que j’appelle progressive. [Si ça a un nom, merci de le noter en commentaire !] Pour un service, vous avez le choix entre 3 tarifs :

  1. le petit prix, soit grosso modo le minimum, plus ou moins les frais engagés par l’organisateur·ice. On pourrait l’apparenter au prix « petit budget », pas de marge.
  2. un prix moyen avec un salaire correct pour l’organisateur·ice. Ce serait le prix de base avec une marge acceptable.
  3. un prix plus pour soutenir un prochain évènement ou des frais de perfectionnement. C’est le prix soutien ou mécénat du genre c’est-trop-bien-ce-que-tu-fais-continue, avec une marge confortable voire plus.

Avec ce système, on espère que les montants versés s’équilibreront pour obtenir un prix moyen. Si la courbe de Gauss s’applique, ça devrait le faire 😉

A dispo pour en discuter, Stéphanie

Technologies de l’information (IT) et obsolescence programmée

J’enclenche mon imprimante, elle clignote et puis plus rien. Je me souviens que nous l’avons achetée il y a quelques années et elle a arrêté de fonctionner deux ans plus tard. Comme elle était encore sous garantie, je voulais l’amener pour la faire réparer. Au lieu de la réparer, on a reçu une nouvelle : elle n’est pas réparable?! Je repense à ça aujourd’hui, même que cette fois, c’est la multiprise et non l’imprimante. Je voulais donc vous parler de l’entreprise suisse why!. Ils vendent des ordinateurs portables réparables et ont aussi sélectionné d’autres objets qui ont une plus longue durée de vie : imprimantes, tablettes, etc.

Circuits imprimés
Photo de Bermix Studio sur Unsplash
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Ces resto qui végétalisent leur carte

Tribune libre parue le 14 mars 2023 dans La Gruyère et écrite avant la lecture de l’article de Delphine Francey paru le 7 mars 2023 dans La Gruyère et intitulé « Le canton invité à faire mieux. Les grands-parents pour le climat proposent au Conseil d’Etat d’améliorer sa politique climatique. » et qui lui fait écho. On lit dans cet article que les grands-parents pour le climat « invitent par exemple à établir une stratégie de transition vers une agriculture et une alimentation à bas carbone ». Ce qu’offrent ces resto qui végétalisent leur carte.

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Venez au marché

Venez au marché les jeudis et samedis

Favoriser le lien aux autres fait partie des visions de Graines d’avenir : je vous propose un exercice pratique avec les marchés hebdomadaires de Bulle. Cet espace de moins de 2’000 m2 est un concentré de convivialité, une ode aux circuits courts et une incroyable vitrine pour le terroir.

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Décroissance ou respect de nos écosystèmes

Décroissance, ou respect de nos écosystèmes

La décroissance est née il y a plus d’un demi-siècle. Et le mouvement ne fléchit pas. Rappelons-nous le concept issu des observations et des réflexions de chercheurs américains, dont Dennis Meadows dans un rapport 1 qui porte son nom. Intitulé «The Limits to Growth» qu’il faut traduire par «Les limites à la croissance », le document se révèle, déjà en mars 1972, un véritable projecteur des idées de la décroissance. Nous sommes à la veille de la tenue de la première Conférence des Nations Unies sur l’environnement à Stockholm du 5 au 16 juin 1972. C’est la première étude qui alerte sur les dangers provoqués par la société de consommation, ou mieux la société de surconsommation.

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Idée de sortie

Idée de sortie par Marianne

Marché bio et artisanat de Saignelégier

Grâce au super cadeau de Noël de l’an 2019 de ma petite sœur, j’ai passé un dimanche ensoleillé de septembre 2022 très sympathique au Marché bio et artisanat de Saignelégier

Après 1h45 de voiture, nous y avons découvert avec nos 2 familles respectives ce village perdu au milieu de la forêt, rempli de parcs à chevaux et abritant en son centre un marché fort convivial, selon le site internet, « le plus grand et surtout le plus beau marché bio de Suisse » ! 😊

Petite nuance cependant : il valait mieux être habillé chaudement pour apprécier pleinement de déambuler à travers les nombreux stands à l’extérieur comme à l’intérieur… le matin, ça caille !!! 😅

C’est un endroit pensé pour que chacun y trouve son compte (normal avec 34 éditions, ils sont au point !) :

  • Pour bébé : avec un coin à langer certes au milieu des stands, mais avec tout le matériel nécessaire pour passer une journée au sec (couches et lingettes à dispo), fanfare itinérante, stands avec affaires de puériculture inspirante, … stands de poterie 😜
  • Pour les enfants : avec place de jeux, le stand d’activités créatrices, les balades à dos d’âne, les stands de crêpes, gaufres, glaces, le stand jus de fruits à volonté, … 😋
  • Pour les adultes : avec des stands d’artisanat, de petites graines, de livres, de nourriture diverse et variée répondant à tous les régimes possibles, des endroits d’informations, des conférences, des ateliers tout au long de la journée !

Bonne humeur, sourires, musiques, ambiance décontractée, chaleur humaine et décors multicolores au rendez-vous à découvrir chaque année le 3ème weekend de septembre durant le weekend du jeûne fédéral.

P’tit Tout

Le P’tit Tout
« Ma plus belle histoire d’amour, c’est vous »

En hiver 2015, une idée un peu folle s’est mise à germer dans ma tête. Je me revois très bien, j’étais employée agricole à ce moment-là, il devait être six heures du matin, j’aidais mon patron à la traite et, tout à coup, c’était là, comme une évidence. Comment concilier le monde agricole que j’aimais tant et mon bagage de vendeuse, tout en innovant ?

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